Baisse continue du pouvoir d’achat ! Pression sans précédent au travail ! réduction des effectifs et main mise des consultants sur la gestion du groupe !
NOUS DENONCONS !
DES NAO EN DEGRADATION CONSTANTE DEPUIS 2009
Depuis plusieurs années nous refusons d’approuver des résultats insuffisants des Négociations Annuelles sur les salaires. La Direction se réfère à l’accord de branche sur les minimums garantis. Les NAO sont systématiquement inférieures à l’inflation, non applicables à l’ensemble des personnels et décalés dans l’année !
Nous demandons une augmentation pour tous du salaire brut de 1.7%, rétroactive au 01/01/2013.
Nous demandons également pour la 3em année consécutive !
le paiement de la prime de la fusion MALAKOFF et MEDERIC de ½ mois
Le rattrapage de pouvoir d’achat de 0.6%/2012 + 0.7%/2011 + 0.5%/2010.
Nous dénonçons par ailleurs les baisses constantes depuis 3 ans des enveloppes d’augmentations individuelles.
Nous demandons une restauration significative de l’enveloppe d’augmentation individuelle, supérieure à 1.5%. Enveloppe financée par les gains de productivité réalisés sur les 400 départs non remplacés depuis 2009.
Nous demandons également une enveloppe d’égalisation définitive des salaires femmes/hommes. Ce dossier n’a que trop duré !
Nous dénonçons la paupérisation progressive des employés du groupe, moins augmentés depuis plusieurs années que des smicards, des retraités ou des employés de grandes administrations, des assurances ou de l’industrie automobile !
Nous demandons une augmentation pour tous du salaire brut de 1.7%, rétroactive au 01/01/2013.
Nous demandons également pour la 3em année consécutive !
le paiement de la prime de la fusion MALAKOFF et MEDERIC de ½ mois
Le rattrapage de pouvoir d’achat de 0.6%/2012 + 0.7%/2011 + 0.5%/2010.
Nous dénonçons par ailleurs les baisses constantes depuis 3 ans des enveloppes d’augmentations individuelles.
Nous demandons une restauration significative de l’enveloppe d’augmentation individuelle, supérieure à 1.5%. Enveloppe financée par les gains de productivité réalisés sur les 400 départs non remplacés depuis 2009.
Nous demandons également une enveloppe d’égalisation définitive des salaires femmes/hommes. Ce dossier n’a que trop duré !
Nous dénonçons la paupérisation progressive des employés du groupe, moins augmentés depuis plusieurs années que des smicards, des retraités ou des employés de grandes administrations, des assurances ou de l’industrie automobile !
UN INTERESSEMENT EN BERNE
L’accord d’intéressement ne corrige pas les errements des grands projets du groupe Pour ne citer que CAP SANTE qui accumule sans fin les retards de traitements et les campagnes de redressements ; ALLURE privé d’innombrables fonctionnalités dégradant ainsi le service des allocations ; le REFERENTIEL PERSONNE dont la reprise catastrophique des données pollue les traitements des outils liés par un bus applicatif catéchistique ! Jusqu’à la Carte Tiers Payant en redressement industriel !
Les personnels du groupe soumis à des pressions historiques en terme d’effectifs et de réorganisation devraient en plus renoncer à de l’intéressement sur des résultats financiers et comptables en hausse !
Nous demandons le retour à un mode de calcul hors défaillance des systèmes de gestion.
Comme aux meilleurs jours d’ISIS/G3C , la conception et le pilotage des nouveaux systèmes sont massivement remis à des prestataires extérieurs. Les cycles de recettes ne sont jamais respectés, et les collaborateurs internes soigneusement mis en touches pendant la phase de conception doivent réparer les dégâts ! Nous ne voulons plus payer pour ces errements ! Nous demandons que l’on rende le pouvoir aux opérationnels !
Les personnels du groupe soumis à des pressions historiques en terme d’effectifs et de réorganisation devraient en plus renoncer à de l’intéressement sur des résultats financiers et comptables en hausse !
Nous demandons le retour à un mode de calcul hors défaillance des systèmes de gestion.
Comme aux meilleurs jours d’ISIS/G3C , la conception et le pilotage des nouveaux systèmes sont massivement remis à des prestataires extérieurs. Les cycles de recettes ne sont jamais respectés, et les collaborateurs internes soigneusement mis en touches pendant la phase de conception doivent réparer les dégâts ! Nous ne voulons plus payer pour ces errements ! Nous demandons que l’on rende le pouvoir aux opérationnels !
UN REGIME DE PARTICIPATION AUX RESULTATS TOUJOURS INEXISTANT
Nous demandons depuis la commission économique du 04/07/2012 la mise en place d’un accord de participation aux résultats. Cet accord est rendu possible depuis l’entrée en fiscalité du groupe. A ce jour cet accord n’est pas en place.
Compte tenu des résultats très importants dégagés par nos activités, nous demandons le versement de la quote-part du résultat revenant au personnel sous forme de prime collective, ce qui était l’usage il y a encore quelques années.
Compte tenu des résultats très importants dégagés par nos activités, nous demandons le versement de la quote-part du résultat revenant au personnel sous forme de prime collective, ce qui était l’usage il y a encore quelques années.
NOUS DENONCONS !
LA MORT DU COMPTE EPARGNE TEMPS
Nous demandons la restauration d’un compte épargne temps monétisable abondés à 50% sans limitation d’affectation de jours et de crédits horaires. Cette demande n’est que la contrepartie des efforts de redressements permanents réalisés par le personnel sur ses jours de travail.Le CET était notre seule épargne ! Avec sa quasi suppression, c’est la situation de fin de carrière de chacun d’entre nous qui est remise en cause. Ces effets seront d’autant plus ressentis que les fins de carrière deviennent singulièrement compliquées et que la durée de vie active risque encore de s’allonger.
UN PERCO SANS AMBITION
Si ce n’est pas le CET qui mettra les salariés du groupe à l’abri du besoin, ce n’est pas non plus le PERCO. Les montants versés sont indécents. On se souvient du discours mémorable de nos dirigeants à Brongniard sur l’avenir sans faille des retraites par capitalisation. On mesure sa portée avec un PERCO incapable de servir une rente à votre retraite !Nous avons engagé, une action concertée avec la CGC en délit d’entrave pour cet accord Perco signé en catimini.
LES PRETS DISPARUS DU PERSONNEL
La paupérisation des personnels c’est aussi l’arrêt des prêts aux personnels (interne ou de nos entreprises clientes). Cette activité d’action sociale dont l’impact commercial était fort, était un vrai plus facilitant l’acquisition d’un logement.Comment comprendre qu’un groupe qui dispose de milliards de fonds propres préfère souscrire à des emprunts Portugais, Grecs, Italiens, Espagnols ………plutôt que de prêter à des salariés d’entreprises Françaises ?
La direction selon son habitude a passé outre nos mises en garde en comité central, nous privant de cette possibilité de financement, et pénalisant ainsi particulièrement les plus jeunes, les bas salaires et l’économie Française.
Nous demandons la remise en route du service de prêt, avec des enveloppes bonifiés permettant de couvrir les apports personnels des accédants à la propriété qui en font la demande.
DERNIERES CONTRIBUTIONS DE LA CFTC
- Participations à la remise en route du CHSCT de Paris LAFFITTE avec l’appui de l’inspection du travail pour un rééquilibrage notamment du collège Cadre. De nombreux dossiers sont maintenant en instruction : implantations contestées, demande d’expertise de conditions de travail, ou de médecine du travail.
- Le rejet vigoureux du projet initial de schéma directeur immobilier – cession de Laffitte - d’Acacias - restructuration de SQY, de Marseille et le rappel incessant de la norme de 8m2 par poste de travail contre 3m2 pour la Direction actuellement – au final la direction a présenté un schéma directeur corrigé avec maintien les bassins d’emplois.
- Une vraie coordination avec nos collègues de SI2M, sur l’avenir de notre outil de travail informatique et la fusion envisagée des MOA et MOE. Les conséquences de la déshérence actuelle sont malheureusement directement visibles aujourd’hui pour nos clients ! nous attachons une attention particulière aux transferts de taches vers l’extérieur, en particulier dans des pays à bas couts horaires et sans prestations sociales ! un comble pour MalakoffMederic.
- Un soutien vigilant de l’expérimentation du Télétravail que la CFTC préconise depuis plusieurs années en CCE. Nous voulons obtenir des critères d’accès moins restrictifs et la prise en compte prioritaire de la distance domicile/travail.
- La participation à l’action en délit d’entrave sur les transferts de Personnel réalisés vers Malakoff Médéric Services et La création d’une section CFTC MMS, pour mieux défendre le statut social des collaborateurs de MMS ou transférés.
- Des rappels permanents de respect des obligations en matière de formations – actuellement le taux de rejet des formations individuelles dépasse les 85%